Diner de la mode 2024 : 757 000 euros collectes pour la lutte contre le sida

Autour de Jean Paul Gaultier, ambassadeur de Sidaction, étaient présents Monica Belluci, Léa Drucker, Gilles Lellouche, Isabelle Huppert, Mélanie Laurent, Lou Doillon, Eddy de Pretto, Camélia Jordana, Shy’m, Slimane, Nora Hamzawi, Clotilde Courau, Zahia Dehar, Amanda Lear…

Evénement incontournable en clôture de la fashion week parisienne, la soirée a permis de collecter 757 000 euros au profit de la lutte contre le sida en France et à l’international.

Le Pr. Françoise Barré-Sinoussi, lauréate 2008 du Prix Nobel de Médecine et présidente de Sidaction ; Line Renaud, vice-présidente ; Florence Thune, directrice générale ; et Pascal Morand, président exécutif de la Fédération de la Haute Couture et de la Mode ont insisté sur la nécessité de continuer à soutenir la lutte contre le sida, 30 ans après le premier Sidaction.

Cette collecte de fonds est toujours nécessaire pour poursuivre le combat contre le virus du sida, financer la recherche pour trouver un vaccin, encourager encore et toujours le dépistage, et lutter contre les discriminations qui font le lit de l’épidémie de VIH.

Cette 21ème édition du dîner qui marque les 30 ans de Sidaction, a été rythmée par une composition musicale créée par Thomas Roussel avec 14 musiciens formant un ensemble symphonique et une prestation des deux chanteuses transgenres, Janis et Lalla Rami.

Une tombola mythique a été animée par Romain Brau en duo avec Daphné Burki, et la complicité des drags Sinistra, Le Philip, Pariz Hair et Victoria. Alexandre Couillon, chef du restaurant La Marine à Noirmoutier-en-l’Île, trois étoiles au Guide MICHELIN, a signé le menu de cette édition 2024.

Cette mobilisation du milieu de la Mode pour la lutte contre le virus de sida permet de financer des programmes de recherche, des associations d’aide aux personnes vivant avec le VIH en France comme à l’international.
Selon les derniers chiffres ONUSIDA (2023), 39 millions de personnes vivent avec le VIH et une personne sur quatre n’a toujours pas accès aux traitements dont un enfant sur deux.