Cellules contenant le virus VIH sous forme intégré mais non réplicatif. A l’instar de la majorité des cellules contenant l’ADN viral intégré (ou provirus) qui vont servir à fabriquer de nouveaux virus, ces cellules réservoirs vont entrer en « sommeil ». Ces cellules peuvent persister de nombreuses années dans cet état de latence. Le virus est ainsi à l’abri des traitements et des défenses naturelles qui pourraient l’éliminer. L’arrêt de traitement entraîne le « réveil » des provirus qui vont alors produire de nouveaux virus qui se répliquent très rapidement.
Les réservoirs constituent l'obstacle majeur à l’éradication du virus de l’organisme et à la guérison de l’infection par le VIH.
Sidaction a financé la thèse d'un jeune chercheur dont le projet portait sur les réservoirs du VIH :