L’infection par Chlamydia est très répandue : plus de 100 millions de personnes dans le monde sont concernées. Une infection à Chlamydia, en augmentant l’inflammation, favorise le développement d’autres infections sexuellement transmissibles.
Chez les jeunes femmes, les co-infections les plus fréquentes sont les co-infections Chlamydia / VIH. Plusieurs facteurs régulent la susceptibilité aux infections. Parmi ceux-ci, le microbiote vaginal. Ces micro-organismes, cohabitant en parfaite entente avec notre organisme, sont étudiés à la loupe par les chercheurs ces dernières années.
Au Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives (CEA), Dr. Elisabeth Menu travaille d’ailleurs sur un projet dont l’objectif est de déterminer l’impact du microbiote sur ces co-infections…