vih Université des Jeunes Chercheurs de Sidaction 2017

21.02.17
18 min

L’Université des Jeunes Chercheurs (UJC) est une formation multidisciplinaire de recherche sur le VIH d’une semaine. L’édition 2017 aura lieu du 14 au 20 octobre à Carry-le-Rouet, près de Marseille.

Programme de l’UJC 2017

Programme de l’UJC 2017

Tous les domaines de la recherche sur le VIH sont présentés : virologie, immunologie, anthropologie… avec la participation du Pr. Françoise Barré-Sinoussi, co-découvreuse du VIH et Prix Nobel de médecine 2008 et de plus de trente intervenants : chercheurs et représentants associatifs. Le programme comprend des cours et des ateliers interactifs.

En 2017 (du 14 au 20 octobre), Sidaction organise l’UJC pour la sixième fois, une formation unique pour son expérience de transmission des savoirs et d’échange pluridisciplinaire.

Dans le but d’encourager l’innovation et la multidisciplinarité, au-delà des chercheurs travaillant sur le VIH, Sidaction ouvre, pour la première fois cette année, les candidatures à l’UJC 2017 à des jeunes chercheurs au profil excellent ne travaillant pas directement sur le VIH (nombre de places limité). L’intérêt potentiel des travaux de recherche dans le cadre de la lutte contre le VIH devra être expliqué dans le dossier de candidature.

Les intervenants de l’UJC 2017

Françoise Barré-Sinoussi

Lauréate 2008 du Prix Nobel de Médecine ou Physiologie

Biographie

Françoise Barré-Sinoussi, Ph.D., rétrovirologiste, Directeur de recherche à l’Institut national français de Recherche médicale et de santé (INSERM) et Professeur à l’Institut Pasteur en France jusqu’en 2015, est internationalement reconnue pour ses contributions à la recherche sur le VIH / sida, pour lesquels elle a reçu le prix Nobel de physiologie ou de médecine en 2008. Françoise Barré-Sinoussi est auteur et co-auteur de plus de 300 publications originales et de plus de 125 articles dans des ouvrages. Elle a été Présidente de l’IAS de 2012 à 2014 et reste membre ou présidente de nombreux conseils scientifiques ou comités consultatifs internationaux. Depuis 2009, elle est membre de l’Académie Nationale des Sciences en France. Elle a également reçu plus de 40 prix et distinctions nationales ou internationales.

Elle a été récemment élevé au rang de Grand-Croix de la Légion d’honneur française.

.Ahidjo AYOUBA, PhD, est actuellement chercheur en maladies infectieuses à l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) à Montpellier au sein de l’UMI-233, après une dizaine d’années passée au sein du réseau des Instituts Pasteur. Ses travaux sur le VIH portent aussi bien sur les aspects fondamentaux que programmatiques dans les pays du Sud.

Dans le domaine de la recherche translationnelle, il a contribué à la mise en place de programmes de Santé Publique pour la prévention de la transmission mère-enfant du VIH au Cameroun et a coordonné plusieurs projets d’étude de la résistance du VIH aux antirétroviraux en Afrique et en Asie du Sud-Est. Dans le domaine de la recherche plus fondamentale, ses travaux portent sur l’émergence de pathogènes à l’interface homme/faune sauvage en Afrique, notamment sur l’origine, la diversité et l’évolution du VIH et de ses précurseurs simiens.

.Richard BENAROUS, MD, PhD, a dirigé l’Unité 529 de l’INSERM, puis le Département des Maladies Infectieuses de l’Institut Cochin (Paris). Il a été directeur de cours pratiques de Biologie Moléculaire à l’Institut Cochin. Il a été visiting scientist pendant 2 ans au département Biologie de MIT (Cambridge, Massachusetts). Il est spécialiste de virologie moléculaire des interactions hôte-virus du VIH. Il a découvert plusieurs cofacteurs HIV-1, dont le partenaire cellulaire principal de l’intégrase, LEDGF, par criblage double-hybride. Il a participé à plusieurs projets européens sur le VIH, et il a coordonné le consortium européen HIVINNOV FP7 ainsi que le programme Eurostar ResistAids. Il est fondateur de trois sociétés de biotechnologie : Hybrigenics, Cytomics et CellVir et a été Directeur scientifique de Mutabilis. Richard BENAROUS est l’auteur de plus de 115 publications internationales et de nombreux brevets.

.Olivier BOUCHAUD, MD, PhD est Professeur des Universités et chef du service des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital Avicenne (Bobigny).

Après des études à Nantes, Olivier Bouchaud a fait son internat à Paris. Après sa spécialisation en gastroentérologie, il s’est orienté vers les maladies infectieuses et tropicales où il a été formé à l’hôpital Bichat-Claude Bernard. A côté de l’infectiologie communautaire et du patient immunodéprimé, il s’est orienté vers la médecine tropicale/santé internationale, notamment dans des projets de soins et de formation en Afrique et tout particulièrement dans le domaine de l’infection par le VIH, la médecine des voyages, et la santé des migrants. Il est actuellement président de la Société de Médecine des Voyages, vice-président de la Société de Pathologie Exotique et vice-président du Collège des Universitaires de maladies infectieuses et tropicales.

.Antoine CHERET, MD, PhD, est médecin en maladies infectieuses. Il travaille actuellement dans le service de médecine interne, Kremlin-Bicêtre Hospital AP-HP, University of Paris-Sud. Il a obtenu son doctorant de l’Université Paris-Descartes. En tant que clinicien, il s’est concentré, depuis 2003 sur la gestion de Patients infectés par le VIH. Ses travaux de recherche visent à comprendre les réservoirs de VIH, en particulier lors d’une infection primaire par le VIH, et des comorbidités non infectieuses chez les patients infectés par le VIH. Son domaine d’expertise particulier est la pathogenèse de l’infection par le VIH et la réponse au traitement antirétroviral.

.Pierre CORBEAU, MD, PhD, est Professeur des Universités-Praticien Hospitalier et chef de service immunologie à l’hôpital universitaire de Nîmes. Il est directeur de recherche à l’Institut de Génétique Humaine, CNRS UPR1142 à Montpellier. Il a été interne aux Hôpitaux universitaires de Montpelier et de Marseille en cancérologie, maladies infectieuses, rhumatologie et immunologie.

Il a enseigné dans diverses universités en France, pour le Mentorat canadien sur le VIH et à l’Université de Californie, à San Diego, aux États-Unis.Il a travaillé en tant que médecin et chercheur depuis le début de l’infection par le VIH. Il a étudié les corécepteurs du VIH et se concentre maintenant sur l’activation immunitaire chez les personnes vivant avec le VIH.

.Constance DELAUGERRE, PharmD PhD, engagée dans la lutte contre le SIDA depuis 1994, elle a soutenu en 2003 son doctorat d’Université sur la Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux. Nommée en 2016, Professeur des Universités – Praticien Hospitalier dans le service de virologie à l’hôpital Saint-Louis, Université Paris Diderot. Ses thématiques actuelles de recherche sont d’une part la compréhension du réservoir VIH et l’évaluation des stratégies d’éradication et d’autre part la prévention pré-expostion par les antirétroviraux. Elle assure la coordination biologique de nombreux essais à l’ANRS et au VRI dont les essais sur la PrEP (IPERGAY et Prévenir). Enfin, elle préside le comité scientifique et médical de Sidaction depuis 2012, qui attribue un budget de 2,5 à 3 millions par an pour la recherche sur le VIH.

.Annabel Desgrées du Loû est directrice de recherche en démographie à l’Institut de Recherche pour le Développement, membre du Centre Population et Développement à Paris (CEPED, UMR IRD-Université Paris Descartes) au sein duquel elle dirige l’équipe « Santé, Genre et Vulnérabilités au Sud», ERL INSERM 1244. Recrutée à l’ORSTOM (devenu IRD) en 1995, elle a mené depuis des recherches sur les enjeux démographiques et sociaux dans plusieurs champs de la santé : les vaccinations, la planification familiale, la prévention de la transmission mère-enfant du VIH/sida, la prévention du VIH/sida dans les populations vulnérables, la place de la maladie dans le parcours migratoire. Nourrie de sa double formation en biologie et en sciences sociales, elle privilégie une approche multidisciplinaire des questions de santé dans les pays en développement, en relation étroite tant avec des équipes bio-médicales qu’avec les diverses sciences sociales.

.Jean-Pierre FOURNIER dispose d’une double formation paramédicale (Infirmier psychiatrie) et Sciences Humaines (3ème cycle en Sociologie Paris V). Au cours de son parcours professionnel, il a été infirmier au centre médical de prise en charge des addictions (Centre médical Marmottan) et directeur d’études qualitatives / études sémiologiques, en Institut, puis a crée un cabinet de consulting. Il est aujourd’hui coordinateur du collectif Inter-associatif Trt5, Traitements et Recherche Thérapeutique, un groupe qui rassemble dix associations de lutte contre le sida en France. Il est également administrateur des associations de lutte contre le SIDA : Actions Traitements, Solidarité Sida

.Jade GHOSN MD, PhD, est médecin, spécialiste en Maladies Infectieuses et Tropicales (DESC Pathologie Infectieuse). Il exerce dans l’Unité de Thérapeutique en Immuno-Infectiologie au Centre Hospitalier Universitaire Hôtel Dieu de Paris. Par ailleurs, il est enseignant-chercheur à la Faculté de Médecine site Necker de l’Université Paris Descartes. Il appartient à l’Equipe de Recherche EA 7327 intitulée “Infection à VIH, Réservoirs, Diversité génétique et Résistance aux ARV » dirigée par le Professeur Christine Rouzioux. Ses travaux de recherches concernent principalement la prévention transmission sexuelle du VIH, la prévention de la transmission verticale du VIH, ainsi que les aspects cliniques et virologiques de la primo-infection VIH. Le Dr Jade Ghosn est membre du comité scientifique de Sidaction.

.Christine KATLAMA est Professeur de Maladies Infectieuses à l’Hôpital Pitié Salpêtrière ainsi qu’à l’université Pierre et Marie Curie (Paris-Sorbonne). Elle dirige l’unité des patients infectés par le VIH et elle co dirige une unité de recherche à l’institut Pierre Louis (INSERM U943). Elle est présidente du COREVIH Ile de France Centre, en charge d’environ 11 000 patients.

Christine Katlama est impliquée dans la lutte et la recherche VIH depuis 1982, co-découvreuse du VIH-2 en 1986. Son groupe a d’abord démontré l’impact de HAART sur la reconstitution de l’immunité et continue ses travaux de recherche sur les stratégies ARV et stratégies de HIC cure. En 2001, elle a cofondé l’ORVACS, groupe international de recherche en stratégie immune incluant le VIH.

En 2003, elle a cofondé de l’ONG SOLTHIS, dont elle a été présidente jusqu’à fin 2016. En 2009, elle a cofondé l’AFRAVIH qu’elle préside depuis cette date.

.Olivier LAMBOTTE est Professeur d’immunologie clinique à l’Université Paris Sud, et est responsable d’une unité d’hospitalisation de 30 lits à l’Hôpital Universitaire du Kremlin Bicêtre.

Il est le responsable d’une des équipes de recherche au sein du Centre de Recherches INSERM CEA UMR11/84 portant sur le contrôle des infections virales.

Il a réalisé parmi les premiers travaux en France sur l’étude des réservoirs du VIH.

Ses champs d’intérêt sont l’inflammation, les liens entre immunité innée et immunité adaptative en particulier dans les tissus. Les mécanismes de persistance du VIH dans les réservoirs et la compréhension du contrôle de l’infection par le VIH en particulier chez les patients HIV controllers sont ses thématiques principales.

Il est l’un des référents français dans la prise en charge des patients traités par les nouvelles immunothérapies du cancer avec la direction d’un centre d’expertise dans les hôpitaux universitaires Paris Sud et la mise en place d’un registre national prospectif de la toxicité de ces médicaments. Il pilote un réseau d’experts dans le domaine sur le site des hôpitaux universitaire Paris Sud. Il a publié plusieurs travaux et revues dans ce domaine. Il est également responsable du Master d’immunologie de l’Université Paris Sud et Vice Doyen de la Faculté de Médecine Paris Sud.

.Jean-Daniel LELIEVRE est Professeur en immunologie clinique depuis 2010 et dirige le département d’immunologie clinique et maladies infectieuses de l’hôpital Henri Mondor et l’équipe 16 de l’INSERM U955. Le Pr JD Lelièvre est actuellement le PI (ou co-PI) de plusieurs essais cliniques dans le domaine des thérapies immunitaires du VIH ou de la vaccination (ANRS OPTIMAL rôle de l’optimisation du traitement avec anti CCR5 chez les patients infectés par le VIH au diagnostic tardif; ANRS LIGHT Anti thérapeutique Vaccin contre le VIH, ANRS TREVE Transplantation rénale et raltegravir chez les patients VIH +, ANRS VRI01, anti-prophylactique anti-VIH, EBOVAC2, vaccination anti-Ebola). Il est à la charge du noyau clinique de l’IRV et du WP 8 (vaccin prophylactique) d’EHVA (European HIV Vaccine Alliance), un consortium européen qui regroupe 39 partenaires. Pr Lelièvre est membre de plusieurs comités de l’ANRS (CSS5, AC5, AC18) des comités scientifiques et permanents de Sidaction.

.Roger Le Grand est responsable du département « Immunologie des infections virales et des maladies auto-immunes» de l’Institut des maladies émergentes et des thérapies innovantes (iMETI) au CEA (Commissariat à l’énergie atomique) en France. Ses recherches portent sur les primates : modèles humains non humains (PSN) d’infections virales humaines, y compris le VIH, Ebola, HBV, Zika … Il s’intéresse particulièrement aux interactions hôte-pathogène et à la prévention de la transmission virale et à la recherche sur les vaccins. Il est associé à de nombreuses études de haut niveau et travaille comme expert, fournissant des services de consultation à plusieurs agences de recherche nationales françaises et au gouvernement français.

.Florence Margottin-Goguet est directrice de recherche à l’Institut Cochin. Elle co-dirige l’équipe “rétrovirus, quiescence et prolifération”. Au cours de son doctorat, elle a publié des travaux de pionnier sur la façon dont la transcription des gènes se produit par un mécanisme commun pour tous les gènes.Au cours de son post-doctorat à l’Institut Cochin, elle a révélé comment le VIH-1 Vpu déclenche la dégradation du récepteur CD4 du virus. C’était le premier exemple de « détournement de l’ubiquitine ligase » dans le domaine du VIH. En 2007, son groupe a été le premier à montrer que HIV-1 Vpr détourne l’ubiquitine ligase Cul4A via DCAF1 pour déclencher une arrestation G2. En 2012, son groupe a identifié le mécanisme d’action du facteur de restriction SAMHD1 dans un réseau de collaboration internationale. Plus récemment, son groupe a identifié une nouvelle cible cellulaire dégradée par le Vpr du VIH-1 dans les macrophages et les lymphocytes, la translocase d’ADN HLTF. Florence Margottin-Goguet est membre du comité scientifique de Sidaction.

.Christophe MARTET Christophe est journaliste avec 35 ans d’expérience (France 2, TETU, Yagg), en télé. Il s’intéresse aux problématiques LGBT et à la santé, en particulier le VIH. En 1992 il réalise La Guerre des seringues pour Envoyé spécial sur France 2. 

Militant à Act Up entre 1990 et 2002, Il a présidé l’association de 1994 à 1996.

Il est l’auteur de Les Combattants du sida (1993, Flammarion) et d’un documentaire sur le sida (Nous sommes éternels). Il est bénévole à l’Ardhis qui accompagne les demandeurs d’asile LGBT. Christophe Martet est séropositif depuis 1985. 

.Laurence MEYER est médecin et Professeur de Santé Publique PU-PH à l’Université Paris Sud, Hôpitaux Universitaires Paris Sud. Elle dirige actuellement une équipe de recherche Inserm, réalisant des recherches sur l’épidémiologie et l’évaluation des stratégies de prise en charge dans les domaines du VIH, de la reproduction et de la pédiatrie, au sein du CESP (Centre de Recherche en Epidémiologie et Santé des Populations, Inserm U1018). Ces domaines de recherche privilégiés sont l’infection VIH, les IST, les cohortes. Elle dirige également une unité de service Inserm, le SC10, spécialisée dans le domaine des essais thérapeutiques et des cohortes en maladies infectieuses.

Sur le plan hospitalier, elle est chef du service de Santé Publique du Groupe Hospitalier et responsable de l’URC (Unité de Recherche Clinique) Paris Sud.

Son équipe enseignante Paris Sud est responsable d’un des plus gros masters de Santé Publique (1 M1, 6M2, environ 500 étudiants), d’une école doctorale en Santé Publique, d’une école d’été en formation continue.

.Jean-Philippe SPANO est cancérologue et chef de service d’oncologie médicale à l’hôpital Pitié-Salpêtrière, Professor à l’Université Pierre et Marie Curie et membre du comité scientifique de l’Institut Universitaire de Paris, Université Pierre et Marie Curie.

Il a été interne en oncologie médicale des hôpitaux de Paris et a travaillé à l’Institut Curie, à l’Hôpital Rothschild, à l’Institut Gustave-Roussy et à l’Hôpital Saint-Louis à Paris. Il est président honoraire et fondateur en 1996 de l’Association d’Enseignement et de Recherche des Internes en Oncologie. Il est membre de plusieurs sociétés savantes. Il est actuellement responsable du réseau CancerVIH, dédié aux patients atteints de cancer du VIH, soutenus par l’INCa. Il est également membre de l’INSERM, unité 1136 (Institut Pierre Louis d’Epidémiologie et de Santé Publique), dédiée à l’épidémiologie et au traitement du VIH, en France, dirigée par Dominique Costagliola.

.Bruno SPIRE est un chercheur vivant avec le VIH. Il est Directeur de recherches à l’INSERM et dirige une équipe dédiée aux recherches communautaires sur le VIH et les hépatites.

Il a débuté son activité scientifique en 1983 à l’Institut Pasteur dans le groupe du Pr Françoise Barré-Sinoussi. Il est associé aux premiers travaux liés à la découverte du virus du sida. Dans cette même équipe, il soutient en 1985 sa thèse de médecine sur les méthodes d’inactivation du virus et en 1990, sa thèse en virologie sur la variabilité génétique du virus. Dès 1988 il s’engage comme volontaire à l’association AIDES où il sera Président national entre 2007 et 2015.

En 1999, il rejoint l’unité U912 de Jean-Paul Moatti pour se reconvertir aux sciences sociales en étudiant l’observance aux antirétroviraux. Ses principales recherches actuelles sont axées sur les perceptions et comportements des personnes touchées ou exposées au VIH et sont réalisées en collaboration avec les militants associatifs.

.Virginie SUPERVIE est chercheuse à l’INSEM, à l’interface entre les biostatistiques, biomathématiques, la santé publique et l’épidémiologie. Ces dernières années, elle a développé et utilisé des outils statistiques et mathématiques afin d’estimer certains paramètres cachés de l’épidémie du VIH, tels que le risque de transmission du VIH sous traitement antirétroviral ou bien le nombre de personnes non diagnostiquées pour le VIH, et d’évaluer l’impact de stratégies de contrôle sur l’épidémie du VIH.

Animations des ateliers

Sidaction est une association d’utilité publique qui a pour objectif le développement de programmes de lutte contre le sida en France et dans les pays en développement. Créée en 1994, l’association apporte son soutien aux programmes de recherche scientifique et médicale, des programmes de prévention, du soin et de l’aide aux personnes vivant avec le VIH.

Gombila René Hugues SANKARA, sociologue, conseiller en éducation pour le développement, anime le groupe de travail Inter-associatif sur l’éthique à l’Association Kasabati à Ouagadougou, Burkina Faso. Par ailleurs, intervient au Ministère de la femme sur les questions liées au genre.

AIDES est une association française de lutte contre le VIH et les hépatites virales, créée en 1984 et reconnue d’utilité publique depuis 1990. L’association mène des actions d’information, de prévention, de soutien, de dépistage, de lutte contre les discriminations, et de mobilisation des personnes concernées par le VIH et les hépatites.

Les participants

Cliquez sur le lien ci-dessous pour voir la liste des participants à l’UJC 2017

Les participants à l’UJC 2017

Les participants à l’UJC 2017

L’UJC : de quoi s’agit-il ?

L’UJC c’est :

  • Une approche pluridisciplinaire de la recherche sur le VIH/sida
  • Des liens collaboratifs entre des jeunes chercheurs issus de toutes les disciplines
  • Une réflexion sur les problématiques de la recherche et les difficultés rencontrées par les personnes vivant avec le VIH
  • Motiver les jeunes chercheurs à s’engager sur le long terme dans le domaine de la lutte contre le VIH/sida

Le programme est établi pour chaque édition en fonction de l’actualité de la recherche sur le VIH/sida.
Découvrez sur ce lien le programme de cette édition 2017.

Où et quand ?

L’UJC 2017 aura lieu du 14 au 20 octobre à Carry-le-Rouet, près de Marseille. Les frais de participation sont pris en charge par Sidaction (venue, hébergement).

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